Vous êtes :
Célibataire ? Homosexuel ? Séparé ? Divorcé ? Veuf ? Infertile ?
Vous souhaitez :
Devenir parents, Fonder une famille, Contruire une Coparentalité, Une Homoparentalité, Faire un enfant ou Donner la vie.
La Solution ? CoparentaLys
Rencontrez l'Homme ou la Femme qui vous convient et Faites un enfant ensemble.
Devenez Maman(s) ou Papa(s)
Plus de 10000 Inscrits nous font confiance.
Pourquoi pas vous?
Derniers Coparents Inscrits
Jhomme
Dernière connexion : Aujourd'hui
![]() |
Cherches a mettre enceintes sans avoir a etre papa Homme France / Île-de-France / Val-d'Oise 21 ans |
Recherche :
Bonjour Je pense que le titre resume bien l'idée donc si vous etes interessé contacter moi ... >> lire la suite
Charu84
Dernière connexion : Aujourd'hui
![]() |
Cherche une femme a aider pour un bébé Homme Canada / Quebec / Montreal 34 ans |
Recherche :
Ma femme est infertile et je veux être père mais ne veux pas divorcé ... >> lire la suite
Denis Membre PREMIUM
Dernière connexion : Aujourd'hui
![]() |
but serieux Homme Canada / Quebec / Longueuil 49 ans |
Recherche :
dans un but serieux, j aimerais fonder une famille, ... >> lire la suite
Klimt
Dernière connexion : Aujourd'hui
![]() |
souhaite trouver un co-papa Femme France / Pays de la Loire / Maine-et-Loire / Écouflant 38 ans |
Recherche :
Je veux être maman, mais l'idée de faire un enfant seule me met mal à l'aise : c'est le priver d'u ... >> lire la suite
Gaylmak
Dernière connexion : Aujourd'hui
![]() |
J aime les enfants Homme France / Île-de-France / Seine-et-Marne 36 ans |
Recherche :
Je suis un jeune n Bogoss blacks j aimerais faire l enfants avc une blanche ou une black je vous a ... >> lire la suite
mederegi
Dernière connexion : Aujourd'hui
![]() |
situation sérieuse Femme France / Île-de-France / Yvelines / Tartre-Gaudran 22 ans |
Recherche :
Bonjour, Je suis une jeune fille de 23 ans, je suis d'origine française et je vis seule avec un ... >> lire la suite
Sabibi
Dernière connexion : Aujourd'hui
![]() |
Désir d’enfant Femme France / Aquitaine / Gironde / Taillan-Médoc 37 ans |
Recherche :
Bonjour. Je m’appelle Sabrina. Je suis infirmière, titulaire de la fonction publique. Célibatai ... >> lire la suite
Life49
Dernière connexion : Aujourd'hui
![]() |
Looking to create a wonder Homme United Kingdom / Somerset / Taunton 49 ans |
Recherche :
I am a French man looking to have a baby with a mum. I am gay and undetectable. I am manly. I do a l ... >> lire la suite
roma629
Dernière connexion : Hier
![]() |
Recherche une femme pour coparentalité Homme France / Nord-Pas-de-Calais / Pas-de-Calais / Nœux-les-Mines 42 ans |
Recherche :
Je m'appelle Romain, j'ai 42 ans. J'habite près de Béthune. Je recherche une personne sérieuse et ... >> lire la suite
bobo
Dernière connexion : Aujourd'hui
![]() |
couple mixte cherche femme Homme France / Bretagne / Morbihan / Riantec 44 ans |
Recherche :
Couple mixte cherche femme pour coparentalite dans la region bretagne. ... >> lire la suite
jery82
Dernière connexion : Aujourd'hui
![]() |
Recherche co-parent désirant avoir un enfant Homme France / Franche-Comté / Doubs / Besançon 37 ans |
Recherche :
Échouant dans mes relations sentimentales et souhaitant plus que tout avoir un enfant, j'aimerais re ... >> lire la suite
REBELLE123
Dernière connexion : Aujourd'hui
![]() |
homme 58ans du 11 Homme France / Languedoc-Roussillon / Aude / Narbonne 57 ans |
Recherche :
salut je recherche une femme qui recherche un pére pour son enfant ,je suis en ce moment pas loin de ... >> lire la suite
L’histoire de la coparentalité
Notre société prononce peu le terme de « coparentalité ». Pourtant, ce concept existe depuis longtemps déjà. Lorsque les couples homosexuels ont revendiqué le droit de s’aimer et de fonder une famille, ils ont été les premiers à privilégier la conception d’enfants en dehors du cadre familial traditionnel. Le plus souvent, le co-parent était un ami de confiance, qui pouvait donc soutenir le couple homosexuel et être présent auprès de l’enfant.
Puis, de plus en plus de couples hétérosexuels sont eux-mêmes devenus co-parents, sans forcément s’en rendre compte : avec un taux de divorce toujours plus important, les familles recomposées ou monoparentales relèvent du schéma de la coparentalité.Les enfants grandissent avec un seul de leurs parents biologiques.Aujourd’hui, la société fait preuve de plus d’ouverture d’esprit, permettant à des hommes et femmes de devenir co-parents, dans d’autres contextes encore : mère ou père célibataire, couple homosexuel, couple hétérosexuel… La famille n’est plus aussi stéréotypée qu’à la fin du XXème siècle !
La coparentalité c’est…
… deux individus qui se rencontrent, avec leur histoire, plus ou moins similaire, et un désir commun : celui de devenir parent, sans vivre ensemble pour autant.
Les avantages sont multiples :
• Pas d’anonymat : les deux parents biologiques se connaissent. L’enfant peut donc savoir d’où il vient, et ainsi connaître sa véritable identité, contrairement à l’adoption, au don de sperme.
• Pas de contraintes administratives, légales ou financières : la démarche reste naturelle et humaine.
• Pas besoin de partir à l’étranger comme le font des femmes voulant devenir mère célibataire, des couples homosexuels voulant adopter…
Comment ça marche ?
La coparentalité est une façon tellement souple de devenir parent, que le plus important est de vous écouter, avant toute chose. Pourquoi voulez-vous concevoir un bébé ? Dans quelles conditions ? Avec qui ? Quel sera le rôle du co-parent ?
L’un des points forts de cette façon moderne de fonder une famille, est le fait de donner à l’enfant deux parents, qui l’ont désiré, qui souhaitent assumer leur rôle, leurs responsabilités. Chacun des co-parents existera et agira auprès de l’enfant, tout au long de sa vie… ou pas, selon l’entente des deux co-parents.
Vous souhaitez entamer une coparentalité ou une homoparentalité ou etre parent célibataire ? Vous etes au bon endroit. Bonne recherche à vous
Ils parlent de nous




Contact Presse ICI
Notre objectif, Votre réussite
Réaliser votre rêve et devenez maman(s) ou papa(s) sur notre site de rencontre coparentale
Cherche homme pour me faire un bébé
Apres avoir multiplié les sites de rencontre sans avoir réussi à trouver la perle rare et encore moins réussi à construire une relation durable et stable, je n’ai plus le temps d’attendre.
J’ai envie d’être mère et de me sentir femme. Eprouver ce sentiment merveilleux de mettre au monde un enfant, SON enfant. Je cherche donc un homme pour me faire un bébé.
Qu’il veuille ou non participer par la suite m’est égal. Je souhaite simplement tomber enceinte. Je me suis donc tourner vers la coparentalité. Terme certes déconcertant et peu commun, j’ai compris que c’est bien cela que je recherche.
J’ai 39 ans, et je me sens seule. Mes copines, mes collègues, j’ai vue toutes celle-ci tomber enceinte et construire leur vie en fondant une famille. Cela reste pour moi à chaque fois une sensation douloureuse qui me fait me souvenir que moi je n’ai rien construit familialement parlant.
Je pense que de nos jours cela deviens de plus en plus compliquer de trouver quelqu’un qui souhaite véritablement construire une relation durable.
Les gens sont si personnels et les sites de rencontre « dit classique » n’arrangent rien car c’est tellement simple de changer de partenaire du jour au lendemain que la moindre difficulté dans un couple est souvent synonyme de réinscription sur Meetic.
C’est malheureux et je l’ai vécu tellement souvent que ça en deviens désespérant. On ne répare plus de nos jours. On jette et on consomme les gens comme n’importe quel autre produit. C’est triste.
Je garde espoir de trouver un Co-papa qui veuille s’impliquer dans la vie de son enfant et pourquoi trouver l’amour par la même occasion. Parfois un projet commun rapproche plus que n’importe quoi d’autre et un enfant est un énorme projet. Si beau et si pure. J’aime beaucoup cette vision et l’opportunité qu’offre un site comme celui-ci par rapport à n’importe qu’elle autres site de rencontre.
Forger et créer un lien fort avec un homme et son enfant. Une amitié pour la vie ou une histoire d’amour forte qui reposera sur la naissance de notre enfant. Je suis en recherche et déjà en contact avec plusieurs gentils futurs papas.
Je voulais communiquer et inciter peut être certaine dans leur décision d’être maman sans attendre le prince charmant. Ceci ne sera pas une décision mauvaise mais le désir d’enfant étant fort je pense qu’il ne faut pas risquer d’attendre que la ménopause pointe le bout de son nez ou d’autres difficultés dussent à l’âge. Je ne veux pas finir seule sans famille j’ai beaucoup d’amour à donner à mon futur bébé.
Les grand parents seront ravi de voir un nouveau venu dans la famille je pense. Bonne recherche de votre bonheur à toutes et tous.
Désir de paternité
Je m’appelle Jean-Philippe, 46 ans, chef d’entreprise. Je n’ai jamais été marié et je n’ai jamais désiré l’être. Je tiens beaucoup à ma liberté. En plus je n’ai pas le temps de m’occuper d’une famille, d’une femme. Je me suis toujours contenté des relations temporaires avec des femmes. Cela correspond bien à mon tempérament d’un homme qui aime varier des expériences sans forcément créer de fortes attaches. Je ne pense pas pouvoir aimer une seule femme pour la vie d’où vient mon désintéressement à la création d’une famille. Je préfère être honnête avec les femmes et leur dire la vérité dès le départ de nos relations pour ne pas les décevoir et tromper par la suite. Cette franchisse m’a évité beaucoup de soucis car je n’ai jamais essayé de faire croire aux autres les choses auxquelles je ne crois pas moi-même. La famille, l’amour pour la vie, la fidélité – c’est pas mon truc. Mon travail me fait voyager beaucoup. Ma vie c’est le changement constant, l’indépendance et la liberté. Je me suis assuré l’indépendance financière grâce aux années de travail dur. Aujourd’hui je peux dire qu’il y a peu de choses que je ne peux pas me permettre d’acheter. J’ai réussi d’avoir une belle maison, une bonne voiture, un bon niveau de vie. J’ai même le luxe d’avoir une certaine liberté dans mon emploi de temps pour enfin réaliser mon rêve d’enfance – le parachutisme. Je monte à cheval, pratique les sports divers, je mange bien et je suis heureux de ma vie. Quoi désirer de plus ? Je ne veux rien change, au fait… Je suis entièrement satisfait de mes acquis. J’ai réussi ma vie telle que je l’ai toujours rêvée.
Comme tous les êtres humains il y a un certain temps que je réfléchis à ce que restera après moi, je pense à ma descendance. C’est important de laisser une trace sur cette terre, autre que les acquisitions matérielles. Les enfants c’est la meilleure façon de transmettre au monde une partie importante de nous. Je ressens naitre en moi un fort désir de paternité depuis un certain temps. Durant une soirée entre amis j’ai évoqué le sujet et un de mes potes m’a parlé de la coparentalité. J’ai étudié le sujet en détails en lisant pas mal d’articles là-dessus. Au final j’ai trouvé que ce concept est vraiment génial car il me permettra à accéder à mon rêve – devenir père – sans m’engager dans une histoire amoureuse durable dont je n’avais aucune envie. Je voulais trouver une femme en bonne santé qui serait d’accord faire un enfant avec moi et l’élever sur la base d’un « contrat » où les rôles de chacun seront bien définis. Je ne souhaitais donc aucune vie commune mais une véritable coparentalité où les coparents mènent un projet commun pour élever leur enfant mais rien de plus. J’ai posté une annonce sur le site de rencontre pour faire un enfant en précisant bien les critères de ma recherche. Suite à mes échanges par mai j’ai rencontré une dizaine de femmes par la suite. Il y avait certaines qui convenaient carrément pas à mes critères : soit elles étaient fumeuses, menaient un mauvais mode vie… soit elles prétendaient clairement à beaucoup plus d’autres choses que la simple coparentalité. En réalité, c’était même important de voir des profils différents pour définir encore mieux pour moi-même ce que j’ai cherché. Au bout de 4 mois et demi j’ai rencontré, Alice. Elle correspondait parfaitement à ce que je cherchais. Une femme en bonne santé (nous avons fait les tests médicaux communs par la suite…), avec une mentalité saine, active, indépendante, cherchant tout comme moi la coparentalité sans la prise de tête sentimentale. Après une série de formalités et de nombreuses rencontres qui nous ont permis à bien discuter des détails de notre projet commun nous avons conçu un enfant. C’est comme ça que je suis devenu père de petit Maxime. Tout marche bien avec Alice pour l’éducation de notre fils, rien ne déraille, j’assure le côté matériel, mon fils ne manque de rien. Maxime vit chez Alice et je le vois plusieurs fois par semaine. Dans quelques mois nous envisagerons une garde alternée : une semaine chez maman, une semaine chez papa. J’ai déjà préparé sa chambre. J’ai hâte de passer des semaines entières avec mon fils. J’ai tant de choses à lui transmettre. En ce qui concerne mes habitudes ma vie n’a changé en rien. Je garde mon indépendance, ma liberté… Aucunes attaches sentimentales fortes avec les femmes. En même temps la venue de mon fils a bouleversé mon existence et je suis devenu un autre. C’est-à-dire un homme véritablement heureux. J’ai tout dans ma vie. Je n’ai qu’à transmettre à mon fils le meilleur de moi, partager avec lui ma vie. C’est ça la coparentalité pour moi. Une version idéale pour devenir parent sans la nécessité de faire ma vie avec une femme.
J’ai toujours cherché ce modèle inconsciemment et voilà, enfin trouvé. C’est bien que notre monde évolue de telle façon que la vision sur la famille devient autre. Nous ne sommes plus enfermés dans les stéréotypes archaïques de la famille où la présence d’un père et d’une mère vivant sous un toit commun soit une obligation. Nous avons tant de définitions de famille que l’on veut. J’ai mon modèle de la famille qui me convient et je suis pleinement satisfait par la coparentalité qui n’était pas envisageable il y a encore une vingtaine d’année. Aujourd’hui tout le monde sans exception peut devenir parent. Super !
Faire un bébé seule
Je suis Karine, 27 ans. Une femme active, responsable de ventes dans une entreprise internationale. Je suis arrivée sur le site de rencontre pour faire un enfant avec le but de trouver un homme qui me permettra de concevoir un bébé pour moi seule. Je ne cherchais pas une coparentalité partagée car je ne voulais pas qu’une autre personne intervienne dans l’éducation de mon enfant.
Pour moi c’est très compliqué de trouver un homme avec qui tu seras d’accord sur les points principaux d’éducation. Il y aura forcément des différences de points de vue et moi, je ne veux pas ça. Je voulais faire un bébé seule. C’était le but. Le site de coparentalité est une super affaire pour ça car tu ne dois pas dissimuler ce que tu veux vraiment, comme c’est souvent le cas pendant des rencontres réels, par peur de faire une mauvais impression …
Ici tu postes juste une annonce en précisant clairement ce que tu cherches et point. J’ai intitulé mon annonce : faire un bébé seule et j’ai précisé bien dans mon annonce que je ne cherchais aucune participation du père dans l’éducation de l’enfant. Je suis d’un caractère de type masculin, peut-être… je ne suis pas très émotionnelle, j’aime pas perdre le temps en marchant autour, je vais directement vers le but. C’est pour ça que je suis appréciée dans mon boulot. Dans mon projet de devenir mère j’ai également défini bien précis ce que je voulais, notamment, trouver un homme en bonne santé pour pouvoir concevoir un bébé qui aura une bonne base génétique.
En recevant les réponses des hommes j’allais direct sans préludes en disant que j’ai besoin d’un homme en bonne santé ! Et pour ça, le site de coparentalité est une bonne chose car tu ne dois pas te prendre la tête de comment demander le futur papa potentiel de passer les examens médicaux avec toi, pour vérifier l’état de santé, votre compatibilité des groupes sanguins etc. Je pense, quand vous avez des sentiments envers quelqu’un cette tâche devient beaucoup plus complexe. Vous êtes gêné de demander, vous avez peur de mettre en cause sa santé de votre partenaire, manifester des doutes, vous hésitez s’il ne va pas le mal prendre… Moi, j’ai évité tout ça car je n’avais pas de sentiments envers le géniteur et je savais que la seule chose qui comptait – c’était de trouver le bon.
J’ai rencontré Marc, mon futur coparent, au bout de 4 mois, nous étions d’accord sur le principe. Il ne cherchait pas non plus de participer dans le processus d’éducation de son enfant. Lui, de son côté a 3 enfants et il voulait juste aider une femme à concevoir et vivre le bonheur de maternité. Il faisait ceci sans aucune demande de rémunération, et purement par les raisons personnelles (il s’est divorcé avec son ex-femme à cause de son impossibilité de devenir mère…). Nous avons passé ensemble tous les tests nécessaires qui ont montré qu’il était en parfaite santé : pas de maladies chroniques, un mode de vie sain. Il ne fumait pas, il ne consommait pas d’alcool à l’excès. Sportif. Même physiquement il me plaisait beaucoup – chose non négligeable car mon enfant allait prendre forcément ses gènes. Bref, je croyais trouver le bon. Une fois les tests ont été passés nous avons passé à l’acte et je suis tombé enceinte au bout de deux mois. Aujourd’hui je suis une maman heureuse de Sébastien que j’élève toute seule.
Mon coparent m’a appelé quelques fois durant ma grossesse et après l’accouchement pour demander si tout se passait bien. Mais il est resté fidèle à sa promesse : ne jamais me déranger plus que ça. Je lui reste et restera toujours infiniment reconnaissante pour la chance unique qu’il m’a offerte, celle de devenir mère. Je tiens à lui dire MERCI. Je reste une femme active, je continue vivre ma vie comme je l’ai toujours fait et j’ai mon fils que je vois grandir chaque jour.
J’espère être une bonne maman pour lui et lui donner le meilleur pour les deux parents ! Malgré les stéréotypes je ne crois pas qu’une maman seule puisse donner qu’à moitié. Vu le côté de mon caractère assez fort, ambitieux et direct, je ferais tout pour que mon fils soit aussi fort. Mais avant tout heureux, ça c’est mon objectif !
Cherche papa
Je suis arrivée sur le site de coparentalité avec le but de trouver un papa pour l’enfant que je voulais concevoir. Je cherchais un vrai papa pour mon futur bébé car j’étais persuadée qu’un bébé avait un fort besoin de la présence constante de deux parents à ses côtés pour son développement sain et harmonieux. Je ne cherchais, donc, pas un homme qui pouvait juste me mettre enceinte. J’ai parcouru pas mal d’annonces du site et j’ai constaté qu’il en y a avait beaucoup proposant aux femmes l’aide pour concevoir sans forcément vouloir participer dans l’éducation de l’enfant. Ce type d’annonce ne me correspondait pas du tout, je les ai virées directement de ma liste. J’ai fait la sélection des annonces de la part des hommes qui proposaient une coparentalité « active » avec leur participation dans l’éducation de l’enfant. Mon annonce « cherche papa » a reçu aussi beaucoup de visites et j’ai eu pas mal de retours. Au bout de 4 mois j’ai rencontré une vingtaine d’hommes et, hélas, je n’ai éprouvé aucune sympathie à ses papas potentiels… Je les ai trouvés très différents par rapport aux images que je me suis faite d’eux durant nos échanges de mail.
En fait, c’était vachement difficile d’accepter la divergence entre mon imaginaire et la réalité. J’étais déçue… car au fils de mes interactions par mail avec ces hommes j’ai commencé à me dessiner un certain profil de chacun, m’habituer, rêve de ce que pourrait être... Du coup, ma déception était forte de les voir si différents en vrai. Je n’avais aucune attirance, que ça soit physique ou psychologique, envers ces hommes… Minimum nécessaire, quand même, pour pouvoir réaliser un projet commun, tel que la coparentalité. J’ai arrêté mes recherches en me disant que c’était impossible de se trouver un papa pour ton enfant de telle manière… en tout cas pour moi, après mes tentatives sans succès, ce n’était plus envisageable. Je continuais de recevoir quelques flashes et quelques mails de temps en temps, mais je ne voulais plus y donner la suite car je n’y croyais plus. Comme j’avais un abonnement de 6 mois j’attendais juste que ça allait s’arrêter tout seul…
Il me restait 4 jours précisément jusqu’à que mon abonnement allait s’écouler. Je me rappelle avec la précision cette information car j’ai marqué en rouge la date de début de cette « aventure » virtuelle sur le calendrier au-dessus de mon bureau. Je savais, donc, que dans 4 jours ça serait terminé. C’est exactement à cette date-là que j’ai reçu une notification que j’avais un message d’un certain Nicolas. J’ai ouvert son message plus par un geste mécanique que par curiosité… juste pour m’assurer que le mail envoyé ne s’affiche plus comme « non lus »… oui, je suis quelqu’un de très organisée et j’aime pas le désordre, même dans mes messages... J’ai ouvert, ainsi, ce mail et là j’ai vu un immense texte adressé à moi. J’avais pas eu le temps de le lire car je devais partir, je me suis dite que je le lirais en rentrant. Tout le long de la journée je pensais à ce message en me demandant ce que ça pourrait être de si grande taille et à ce que ce Nicolas pourrait me dire. En rentant j’ai couru vers mon ordi pour lire le message…
C’était le début de plus grand voyage de ma vie car Nicolas est devenu le père de mon enfant par la suite. Aujourd’hui nous vivons ensemble et nous prenons soin de notre petite fille, Christelle. J’avais un coup de chance rare, je le sais… J’ai rencontré un vrai papa pour mon enfant. De plus j’ai rencontré l’homme avec qui je partage plus qu’un projet de coparentalité. Nous partageons aujourd’hui nos vies. Jamais je n’aurais cru de pouvoir trouver mon destin sur ce site surtout après un tel nombre d’échecs et de déceptions. Je dis un grand MERCI au projet de coparentalité et au site qui a changé ma vie. Enfin nos vies, la mienne et celle de Nicolas et de petite Christelle qui n’aurait jamais été là, si ce n’était pas cette petite annoncé que j’ai créé en l’intitulant « cherche papa ».
Le don de sperme
Le don de sperme est une réponse à l’impossibilité de procréer de nombreuses personnes, qu’elles soient seules, en couple infertiles ou en couple avec une personne de même sexe. Les règles qui régissent la France dans ce domaine sont très strictes et diffèrent de celles appliquées à l’étranger.
Quelle est la procédure à suivre pour bénéficier d’un don de sperme ? Quelles sont les conditions à respecter pour voir sa demande acceptée et quelles sont les spécificités françaises dans ce domaine ?
Don de sperme : Principes et dispositions légales
Le don de sperme ouvre l’accès à la parentalité à des personnes seules ou à des couples ne pouvant procréer de façon naturelle. Comme en atteste le nombre de naissances directement imputables à cette pratique (environ 40 000 depuis sa légalisation en 1973), le don de sperme est une seconde chance pour les français en mal d’enfant.
En France, ce type de dons est régi par la loi de bioéthique datant de 1994.
Pour le donneur de sperme, des conditions strictes sont à respecter pour son éligibilité. Le don est entièrement gratuit et anonyme et se déroule au sein d’un des différents centres d’études et de conservations des œufs et du sperme humain (CECOS), qu’il s’agisse de banques du sperme ou encore de cliniques spécialisées. Il est exclusivement réservé à des hommes âgés de 45 ans maximum.
Jusqu’en juillet 2011, les potentiels donneurs devaient obligatoirement être déjà père d’au moins un enfant. Cette obligation a disparu depuis cette date et il n’est plus nécessaire d’être parent pour devenir donneur. Cette démarche est motivée par une volonté d’aider les couples infertiles ou homosexuels ainsi que les personnes seules à devenir parents.
Le fait de centraliser les dons auprès de CECOS permet d’encadrer légalement cette pratique. Il faut préciser que malgré presque 10 000 dons effectués en France depuis 1973, les demandes restent encore bien supérieures au stock de spermatozoïdes disponibles, ceci s'explique en grande partie par le phénomène croissant d’infertilité au sein des couples.
Entre la prise en charge et l’attribution effective de paillettes de sperme, le délai d’attente moyen auprès des CECOS est d’environ un an. Ce délai, qui peut paraître long, est néanmoins une réelle opportunité pour les couples de bien réfléchir à leur décision et d’élaborer un cheminement psychologique propice à accepter ce genre de démarche.
Le témoignage de Thierry M., 31 ans et donneur de sperme, permet de mieux comprendre les raisons qui pousse un volontaire à s’inscrire dans cette démarche significative : "L’idée de faire un don de sperme m’est venue suite à la situation que traversait un couple d’amis que nous avons avec mon épouse. La femme du couple ne parvenait pas à tomber enceinte et un examen a décelé un problème de fertilité chez son homme. Je les voyais si malheureux que je me suis dit qu’ils méritaient de goûter comme nous aux joies de la parentalité. Je me suis donc porté volontaire afin d’aider d’autres couples comme eux".
En France, l’anonymat du donneur comme celui du couple bénéficiaire est préservé. Le donneur de sperme ne perçoit aucune forme de rémunération dans la mesure où cet acte est entièrement gratuit. En revanche, il peut être dédommagé éventuellement concernant ses frais de transport et d’hébergement. De même, pour que ce don se fasse dans un cadre strictement légal, ce dernier doit être réalisé au sein d’un organisme de santé à but non lucratif. A ce titre, les CECOS, qui sont généralement intégrés au sein de centres hospitaliers universitaires, offrent les prestations les plus fiables et maîtrisent les meilleures techniques de préservation des cellules reproductives.
La question de l’anonymat, qui entoure le donneur comme les couples bénéficiaires, est souvent pointée du doigt par certaines associations d’enfants procréés grâce à un don. Néanmoins, ce statut n’est toujours pas remis en cause aux yeux de la loi. Toujours d’un point de vue juridique, si le don de sperme encadré par les autorités compétentes est reconnu légalement, il n’en est pas de même pour le don direct de sperme et l’insémination réalisée hors du périmètre de la médecine professionnelle.
Ces deux pratiques sont purement et simplement interdites par la loi. Les donneurs et les couples qui contreviennent à cette prescription ne disposent ainsi d’aucune protection légale en cas de problème.
L’histoire d’Olivier M. 33 ans, est particulièrement édifiante à ce sujet : « Je souhaitais me rendre utile et permettre à un couple de mon entourage de devenir parents. Ces derniers n’avaient pas la patience de passer par le circuit traditionnel et ils m’ont un jour fait cette demande que j’ai tout de suite acceptée, pensant bien faire. Après avoir perdu de vue le couple pendant trois années, ce dernier, qui était désormais les parents d’un jeune garçon, a requis à mon égard un test de paternité qui s’est révélé bien évidemment positif. Je suis désormais soumis à verser chaque mois une prestation familiale pour avoir cherché à rendre service.
J’aurai du davantage me renseigner sur les dispositions légales entourant ce genre de dons.»
Comment se déroule un prélèvement de sperme ?
Le don consiste simplement en un prélèvement des cellules reproductives de l’homme qui sont les spermatozoïdes. L’acte du don est totalement volontaire et l’anonymat est préservé aussi bien du côté du donneur que du couple bénéficiaire. Contrairement à d’autres pays, cette pratique n’implique aucune transaction financière. Le fait de centraliser les dons auprès des CECOS permet d’en garantir leur fiabilité.
Chaque prélèvement est soumis à des tests afin de s’assurer de l’absence totale de toute maladie infectieuse et de se prémunir contre les risques de transmission de maladies génétiques.
Chaque donneur de sperme potentiel doit suivre un certain nombre de démarches. Tout d’abord, ce dernier est reçu en entretien par un médecin afin de répondre à différentes questions autour de son don.
C’est au cours de ce rendez-vous que seront détaillés les différentes étapes à suivre ainsi que les modalités de prélèvements.
Pour être retenu, le volontaire doit clairement accepter de faire don de ses cellules reproductives et, à ce titre, un formulaire de consentement doit être signé par celui-ci mais également, si la personne est en couple, par son conjoint. Une fois ce document signé, le volontaire suivra une batterie de tests médicaux composée notamment d’un prélèvement sanguin permettant de déterminer son groupe sanguin.
A cela s’ajoutera une consultation génétique et caryotype réalisée afin de déceler d’éventuelles maladies génétiques. Un test sérologique est bien évidemment effectué pour s’assurer que le volontaire n’est porteur d’aucunes maladies sexuellement transmissibles parmi lesquelles figure le VIH. Ce n’est qu’une fois que ces étapes seront accomplies et validées que le donneur pourra réaliser son premier prélèvement.
D’un point de vue purement pratique, le prélèvement se fait par masturbation. Le donneur doit avoir préalablement été abstinent pendant les 3 à 5 jours précédant le don. Un échantillon est tout d’abord prélevé afin d’évaluer la capacité de résistance de la substance au processus de congélation et de déceler toute trace d’infection.
Après ces analyses et dans l’hypothèse où le don répond aux normes en vigueur, les spermatozoïdes seront alors congelés dans l’azote liquide à – 196°C dans des paillettes. Il est également important de savoir que chaque don ne doit pas contribuer à la naissance de plus de dix enfants.
Pourquoi faire appel à un don de sperme ?
Les raisons qui poussent un couple à faire cette demande sont nombreuses et relèvent de leurs difficultés voire de leur impossibilité à concevoir un enfant. Parmi les troubles affectant la fertilité d’un homme, on retrouve principalement l’azoospermie qui est une absence de production de spermatozoïdes.
Ce dernier peut également produire des spermatozoïdes présentant certaines anomalies. Enfin, certains couples ont recours au don de sperme quand il y a un risque sérieux de transmission d’une grave maladie génétique.
Le témoignage de Catherine et Philippe permet d’illustrer certains des facteurs incitant les couples à s’inscrire dans cette démarche. "Après 5 ans de vie de couple, nous commencions à sérieusement avoir envie d’avoir un enfant. Cependant, certains antécédents dans ma famille me faisaient craindre des risques de transmissions d’une maladie héréditaire. Après une longue réflexion, nous avons donc pris la décision ensemble de faire cette demande. Cela fait maintenant trois ans que nous avons eu Théo et nous ne regrettons nullement ce cadeau du ciel".
Pour ce qui est de la démarche à suivre pour bénéficier d’un don, il faut connaître la législation française actuelle. La législation est très stricte à ce niveau et seuls les couples hétérosexuels en âge d’avoir des enfants sont actuellement éligibles à ce type de dons.
Si un couple présente un problème d’infertilité irrémédiable ou si l’un de ces membres souffre d’une maladie grave avec un risque avéré de transmission à l’enfant, alors une procréation médicalement assistée(PMA) peut être envisagée.
Une fois que la décision est prise, le couple devra se rendre auprès de l’un des 23 CECOS situés en France et sera pris en charge par une équipe pluridisciplinaire comprenant aussi bien des médecins que des généticiens en passant par des psychologues en vue de bénéficier d’une insémination artificielle ou encore d'une fécondation in vitro.
Pour tout couple qui souhaite faire appel aux services d’un donneur de sperme, il faut savoir que le taux de réussite d’une telle démarche est de l’ordre de 10 à 15 %. Ce taux s’explique tout d’abord par les capacités de fécondité de la femme qui n’est pas toujours facile à déterminer, surtout pour celles n’ayant jamais eu d’enfant.
En second lieu, de nombreux facteurs extérieurs comme l’âge ou le tabagisme ont une incidence directe sur les résultats. En tout état de cause, après 5 ou 6 tentatives infructueuses, les couples peuvent être orientés vers une insémination par FIV dont les chances de réussite sont supérieures.
Les différentes techniques de PMA
La PMA peut se faire suivant deux méthodes différentes. La plus classique et facile à mettre en œuvre est l’insémination artificielle.
Cette dernière ne requiert aucune hospitalisation et son mode opératoire est des plus simples. Le médecin dépose simplement les spermatozoïdes issus d’un donneur de sperme dans l’utérus à l’aide d’un cathéter.
Une fois cette action accomplie, les gamètes sont censées remonter les trompes avant d’atteindre l’ovocyte. La fécondation se déroule ici à l’intérieur du corps de la femme.
L’autre méthode est la fécondation in vitro. Celle-ci se déroule hors du corps de la femme et s’avère plus complexe que la précédente. Elle requiert en premier lieu que la femme suive un traitement hormonal suivi d’une ponction folliculaire qui nécessite une anesthésie.
La fécondation proprement dite se fait en laboratoire. L’embryon est fécondé à l’aide de spermatozoïdes d’un donneur et celui-ci est ensuite implanté dans l’utérus de la femme.
Don de sperme : Une perspective nouvelle de parentalité
Jusqu’à présent, les couples homosexuels comme les femmes seules n’ont pas accès aux CECOS et seuls les couples hétérosexuels ont ce droit. Les couples qui s’engagent dans cette démarche ont la possibilité de sélectionner les différentes caractéristiques physiques de l’enfant à travers le profil des différents donneurs. De la couleur de peau en passant par celle des cheveux sans oublier le groupe sanguin, de nombreux aspects de l’enfant pourront être déterminé par les parents avant la phase de fécondation proprement dite.
L’accès à la parentalité demeure compliqué aussi bien pour les personnes seules que pour les couples homosexuels et ce, en dépit de la promulgation de la loi sur le mariage pour tous en 2013.
La PMA est toujours interdit aussi bien pour les femmes seules que pour les couples homosexuels et l’adoption reste la seule voie légale pour ces personnes de devenir parents.
Néanmoins, ce type de famille peut trouver, par le biais de CoparentaLys, une alternative attractive notamment pour l’élaboration d’un projet de coparentalité. La coparentalité est une option accessible à certaines personnes désirant avoir un enfant ensemble.
Même si cette option, est de plus en plus plébiscitée par les couples ne pouvant avoir d’enfant de manière naturelle ou par difficulté à rencontrer un partenaire, celle-ci n’est pas encore officiellement reconnue par la loi et apparait donc comme dans le contexte du divorce ou de la séparation convenue.
Femme cherche homme pour faire un bébé
Je suis célibataire sans enfant, j'habite la Picardie, et je recherche un homme souhaitant partager mon désir parental.
Après une année de recherche via d'autres moyens de rencontre, plus classiques, où la relation s'initie avec le besoin d'amour de chacun, et où j'ai constaté qu'il était difficile de faire s'accorder, à l'aube de la quarantaine, des vies déjà bien ancrées, je veux rencontrer un homme qui regarde dans la même direction que moi, et ne cherche pas ses propres intérêts..
Quoi de mieux qu’un enfant pour regarder dans la même direction ? Une bonne hygiène de vie est aussi très importante pour moi et pour l’enfant à venir, car le papa sera un modèle. Bref cela est donc bien ma recherche, une femme cherche homme pour faire un bébé.
Ceci est certes peu commun mais le constat d’échec des sites de rencontres standard pousse les femmes à passer par un autre chemin que la case « Amour » pour être maman.
Je connais beaucoup de femme dans ma situation je ne suis pas une exception. Vous avez tous dans votre entourage une « vieille fille » comme on les appels, qui ne rencontre jamais personne et qui a une vie sentimentale inexistante. Je suis sûr que vous avais des visages qui apparaissent dans votre tête maintenant tout de suite :-) Des femmes qui sont déçu par l’amour, ou qui ne le trouve pas ou encore des femmes lesbiennes…, la liste est longue et varié dans la réalité du parcours de notre vie et qui peut expliquer cette non possibilité de concevoir un enfant…
Ces femmes rêvent pourtant d’une famille avec un homme et des enfants qui court dans la maison… comme chacune de nous.
Nos cœurs de petite fille attendent leur perle rare. Mais cela ne fait que vous attendre une moitié qui ne viendra pas forcement taper a votre porte et vous aurez perdu vos plus belles années. Votre jeunesse ou vous auriez pu partager tellement plus de choses avec vos enfants. Je ne veux pas attendre ! J’en ai marre d’attendre. Je veux faire un enfant et remplir ma vie d’amour, de découverte, de partage, de joie.
Que cela sorte des sentiers battus ? Oui je le conçois mais on a qu’une vie et vouloir cette vie n’est pas égoïste.
Donner et recevoir de l’amour et du bonheur n’a jamais été égoïste. Laissez parler les critiques si elles existent et trouver un homme pour faire un bébé maintenant. !
La coparentalité
La coparentalité est un terme désignant le partage de responsabilité des parents envers leurs enfants. Ce concept est applicable auprès des personnes séparées et divorcées généralement. Toutefois, il y a aussi des adultes qui optent consciemment pour ce système éducatif. Il s'agit entre autres des parents ayant le même sexe ou des personnes qui ne souhaitent pas s'engager dans la vie maritale, mais qui veulent avoir un enfant. La coparentalité est en effet valable autant pour les parents biologiques, les parents adoptifs ou les personnes qui s'engagent vis-à-vis d'un enfant même si aucun lien de sang ne les unit. Tous les acteurs y trouvent en général leur compte, car les parents peuvent exercer leur rôle tandis que les enfants ont des personnes qui sont prêtes à tout pour s'occuper d'eux. Pour que ce concept soit un succès, chacun doit y mettre du sien en faisant des concessions et en respectant les autres. Il est tout aussi important de conserver une bonne entente afin de préserver la communication. Cela permet à l'enfant de se construire des repères stables pour son bon développement.
Le principe de la coparentalité
Être coparent est une situation de plus en plus courante, même si aucune législation ne statue le fait que les enfants ont le droit d'avoir deux parents. Ce concept permet pourtant à chacun des parents de se départager équitablement leur responsabilité envers leurs enfants. L'enfant a besoin d'un environnement social stable et serein pour son bon développement. À rappeler qu'il s'agit d'un exercice conjoint, où la concurrence n'a pas lieu d'être. Aucun des parents ne peut ainsi prendre seul une décision concernant l'enfant sauf si celle-ci se réfère aux actes usuels. Ceux-ci sont définis comme étant des actes qui ne risquent pas de changer les habitudes de l'enfant ou qui n'ont pas de conséquence directe sur son avenir. Pour que ce choix soit couronné de succès, il est impératif que les coparents aient toujours une bonne entente et trouvent des solutions à leur différend. Dans certains cas spécifiques, c'est au juge de statuer les droits parentaux accordés à chacun des coparents. Sa décision vise à préserver l'intérêt de l'enfant en considérant plusieurs paramètres au cas par cas, notamment quand il s'agit de divorce.
Le but de devenir coparents
Avec la notion de coparentalité, chaque parent doit logiquement avoir la même autorité sur les enfants qu'ils ont ou qu'ils élèvent ensemble. L'objectif est de penser au bonheur de l'enfant pour qu'il soit élevé dans le cadre d'une cellule familiale. Ce système lui permet d'avoir des repères solides et de pouvoir s'identifier à ceux qui prennent soin de lui. Il peut ainsi entretenir des relations avec chacun de ses parents sans que l'autre n'ait le droit de l'en empêcher. Ce contact lui est vital afin qu'il puisse préserver son équilibre psychique et mental. La coparentalité prévaut ainsi sur le concept de la monoparentalité, qui était courante pendant un certain temps. En comparant sa situation avec ses copains, il va lui aussi se dire qu'il a un papa et une maman qui l'aime de tout son cœur. Les liens affectifs ont parfois plus de valeur et de poids que les liens de sang. C'est une constatation que beaucoup de spécialistes en coparentalité ont déjà notée à plusieurs reprises.
Les principes de base
Le préfixe « co » devant le mot « parentalité » prête à de nombreuses interprétations. Le concept est valable non seulement pour les parents naturels, mais aussi les parents adoptifs et ceux du même sexe. Il y a également des parents qui l'ont appliqué depuis bien longtemps. Ils ont un enfant ensemble, mais ils ont décidé de ne jamais s'unir. Dans certains cas de figure, un des parents est déjà marié, mais a un enfant extraconjugal. Sa situation ne l'empêche pourtant pas d'assumer ses responsabilités vis-à-vis de son enfant. La relation des coparents se base alors sur la confiance et le respect mutuel. Cela les amène à se voir souvent pour discuter de leurs enfants, que ce soit de leur vie quotidienne, de leurs bêtises ou encore de leur avenir. Ces échanges leur permettent de trouver des solutions aux problèmes que leurs enfants rencontrent. Ces derniers ont en effet besoin d'être bien encadrés afin de se sentir bien dans leur peau. Les rôles du père et de la mère sont souvent complémentaires selon l'image familiale standard. C'est souvent la mère qui s'occupe de l'enfant dès sa naissance alors que le père est souvent cantonné dans le rôle de celui qui subvient aux besoins de la famille. Les deux parents doivent aussi se respecter et en reconnaissant la valeur de l'autre en tant que parents.
La coparentalité, de la théorie à la pratique
Différentes raisons sont à l'origine de la coparentalité, et certains couples choisissent même cette option de leur plein gré. Il est alors très important de délimiter la frontière entre les liens coparentaux et les liens conjugaux. Ce sont des dimensions distinctes, mais qui interagit étroitement, notamment quand les parents n'ont aucun lien sentimental. Ils doivent en effet s'accommoder de leur nouvelle situation. Les coparents doivent se concerter aussi souvent que possible pour élaborer un plan parental afin de prendre les meilleures décisions vis-à-vis du développement de l'enfant. Pour qu'une coparentalité soit saine, les principaux acteurs doivent se communiquer en permanence. Il arrive souvent qu'une situation imprévue se présente et que les conséquences puissent engager l'avenir de l'enfant. Dans certains cas, les co parents mènent chacun leur vie de leur côté et qu'un changement, comme un remariage ou un déménagement, risque de bouleverser l'enfant. Il faut alors en parler ensemble tout en s'efforçant de le rassurer. Les co parents peuvent déjà lui proposer les mesures prises pour qu'il puisse rester en contact avec l'un et l'autre comme avant. Il ne faut pas oublier qu'une coopération des parents est bénéfique pour l'enfant sur de nombreux points. Quand les enfants sont conscients de l'entente entre ses parents, il sait qu'il évolue dans un milieu stable et se sent alors en sûreté. Ils ont les ressources émotionnelles nécessaires pour faire face aux problèmes quotidiens sans avoir l'impression de se sentir dépassées. D'autant plus que les enfants s'imprègnent de l'environnement dans lequel ils évoluent. Quand leur co parent leur renvoie une image d'entente et de bonheur, ils vont eux aussi se sentir bien dans leur peau. Par contre, s'ils sont souvent témoins de discordes, ils vont certainement communiquer de la même manière avec leur entourage. Ils risquent eux aussi d'être agressifs à leur tour ou de devenir introvertis.
Privilégier la liberté de l'enfant
Dans une coparentalité efficace, les deux parents n'essaient pas de s'attirer les faveurs de l'enfant. Ils ne se lancent pas dans une compétition puérile dans le but de devenir le meilleur parent par rapport à l'autre. Au contraire, ils font tout pour que l'enfant puisse maintenir la relation fusionnelle qu'il a tissée avec chacun de ses parents. C'est aux co parents de renforcer ces liens en donnant de son temps autant de fois que possible. Ils peuvent aussi organiser des sorties ensemble pour aller au parc d'attractions, pour manger une glace ou juste pour faire du shopping. Cela permet à l'enfant de savoir que ses parents l'aiment vraiment et qu'il peut compter sur eux en cas de problèmes. Dans les familles de type standards, il y a toujours une affinité permettant à l'enfant de parler plus ouvertement avec son père ou sa mère. Ce même schéma s'applique aussi dans le cadre de la monoparentalité. Ensuite, c'est au co parent d'en discuter ensemble dans la limite du respect de confidentialité. Certains enfants sont, en effet, très susceptibles et voudraient que la personne avec qui il a parlé conserve un minimum de discrétion par rapport à son problème. Sinon, il ne va plus avoir confiance en lui et se sentira comme abandonné. Il risque alors de se replier sur lui-même et de garder pour lui ce qui lui arrive. Cette situation érigera alors des barrières entre l'enfant et ses co parents.
Toujours opter pour la positive attitude
Malgré les difficultés qui peuvent se présenter, il est important de toujours penser au bien-être de l'enfant. Son innocence et son insouciance doivent être préservées. Les coparents doivent alors s'assurer de ne jamais laisser transparaître leurs soucis, quel qu'il soit. Adopter la positive attitude leur est recommandée. Cela consiste à toujours paraître de bonne humeur en toutes circonstances. Il faut aussi éviter de s'emporter facilement, car cela peut avoir des effets négatifs sur l'enfant. D'autant plus que les enfants sont les plus beaux cadeaux et qu'ils méritent d'être traités avec égard et amour. Les co parents peuvent alors discuter de leur problème en l'absence des enfants. Quand ceux-ci sont à l'école ou quand ils sont chez des amis. Il est aussi possible de se rencontrer dans un endroit neutre afin de pouvoir mieux discuter des problèmes qui existent. Si ces derniers persistent, il est possible de demander à l'autre parent de s'occuper de l'enfant. Si les co parents n'habitent pas ensemble, l'enfant peut venir habiter chez l'autre pendant un certain temps ou durant le weekend. Il ne va pas alors se sentir abandonné par l'autre, puisque ce n'est pas une situation nouvelle pour lui. C'est d'ailleurs un des avantages d'opter pour la coparentalité. Chacun peut organiser son emploi du temps de façon à pouvoir s'occuper de l'enfant quand l'un des deux ne le peut pas. Chaque parent a d'autant plus la même autorité parentale. Il suffit de communiquer à l'autre des détails qu'il ignore encore et qui peuvent lui permettre de mieux prendre soin de l'enfant.
Les secrets de la réussite d'une coparentalité
Même dans une relation de coparentalité, des disputes peuvent éclater. Chaque parent a son propre point de vue et se campe sur ses positions. Il arrive même que la situation représente une impasse pendant un certain temps. Cela peut concerner la scolarité de l'enfant. L'un souhaite le garder dans un établissement public, l'autre souhaite le transférer dans un établissement privé pour lui assurer un meilleur avenir. À noter pourtant que les frais scolaires et autres charges s'y affairent doivent être partagés entre les co parents. C'est donc une décision qui nécessite beaucoup de réflexion en pesant bien les pour et les contre. Les mésententes peuvent aussi se présenter pendant les vacances scolaires et que l'enfant ne sait plus avec qui il va les passer. Un exemple concret explique mieux le problème dans lequel il se trouve. Ses parents ne vivent pas ensemble et ont opté pour la coparentalité avant sa naissance. Son père et sa mère mènent chacun leur propre vie et il s'entend avec tout le monde. Il sait même qu'il a beaucoup de chance d'avoir beaucoup de personnes qui l'entourent et qui l'aiment. Son père souhaite l'emmener à l'étranger pour lui faire découvrir de nouvelles cultures et de nouveaux horizons. Sa mère qui vit avec son second mari veut partir en bord de mer pour se dorer au soleil et vivre des vacances farniente. Le premier mari de sa mère, avec lequel il s'entend bien, vit avec sa demi-sœur. Ces derniers organisent eux aussi un voyage exceptionnel auquel il est convié. Dans ce contexte, l'enfant ne sait plus quelle décision il doit prendre. Il a peur de blesser l'un ou l'autre de ses nombreux co parents avec qui il s'entend si bien depuis toujours. Il revient alors au coparent de discuter ensemble pour que l'enfant ne se sente pas mal à l'aise. Il est tout fait possible qu'il passe une semaine avec chacun d'eux à tour de rôle. De cette histoire, il en résulte que la coparentalité exige une grande humilité et une compréhension des autres parents. Dans certains cas où les co parents ont coupé tous les liens, il est recommandé de ne jamais se servir de l'enfant comme un messager. Il y a des fois où il n'a pas envie de rapporter tel ou tel message parce qu'il connait déjà la réaction de l'autre. Il veut aussi éviter les réponses colériques qui ne lui sont pas destinées. Quand ce genre de situation se présente, il est préférable de s'adresser à des médiateurs comme les travailleurs sociaux ou les avocats. Loin de là l'idée d'abolir les droits parentaux de l'autre, mais cela permet de trouver des terrains d'entente pour que tout le monde soit sur la même longueur d'onde. Les conflits ne leur sont pas bénéfiques et peuvent créer des tensions intérieures. Ils risquent de se sentir coupables, car ces discussions incessantes leur concernent. Cela peut les amener à trouver des solutions par eux-mêmes, quitte à faire des bêtises sans qu'ils s'en rendent compte.
L'importance de la communication
Au départ, quand deux ou plusieurs adultes décident de devenir co parent, ils se concertent pour mettre en œuvre un plan parental. Celui-ci consiste à définir les rôles et les responsabilités de chacun. La communication doit toujours être privilégiée dans le but de préserver l'intérêt de l'enfant. Un simple coup de téléphone ou bien un message texto permet de partager une information capitale. De cette manière aussi, les enfants savent que les parents se préoccupent d'eux et qu'ils s'entendent bien. Cela leur démontre entre autres que les co parents sont solidaires. Les sorties entre copains ou les soirées pyjamas doivent ainsi avoir l'accord de tous pour être validées. L'enfant ne peut alors pas monter les parents les uns contre les autres quand il veut obtenir quelque chose.
La coparentalité, pour tourner la page
Quelle que soit l'épreuve qu'un individu a traversée, la coparentalité permet de tourner la page. Cela ne concerne pas uniquement les personnes divorcées ou qui ont connu une rupture difficile. La coparentalité peut être une bonne idée pour ceux qui n'ont jamais réussi à trouver l'amour, mais qui souhaitent avoir des enfants. C'est aussi valable pour les personnes qui ne veulent pas s'engager dans une relation sérieuse et qui ne veulent pas élever leurs enfants toutes seules. Le fait de devenir co parent leur permet d'avoir quelqu'un pour les soutenir et les épauler dans les moments difficiles. Ils n'ont plus l'impression d'être seuls face à un problème insurmontable. Grâce à ce système, les parents partagent aussi des moments exceptionnels. Ils vivent des expériences uniques quand les enfants font leur première dent, leur premier pas ou quand ils ont leur diplôme. Toutes ces étapes de la vie deviennent encore plus magiques quand elles sont partagées avec des personnes qui ont toujours été présentes pour soi. En ce qui concerne les homosexuels, leur statut de couple ou de parent ne sont pas reconnu par la loi. Il est très rare que leur demande d'adoption soit accordée. L'un d'eux doit alors avoir une relation qualifiée de normale pour avoir un enfant. Ce dernier va ensuite être élevé par les deux parents de même sexe qui vont appliquer les principes de la coparentalité. Dans certains cas, il arrive que le parent biologique s'implique aussi dans l'éducation de son enfant et devienne aussi un co parent.
Connaître les attentes des enfants
Les enfants ont encore un esprit très spongieux et sont fragiles. Il est important que les co parents se soucient de leur bien-être avant de penser à eux-mêmes. Ils ont l'obligation de réaliser ce que leurs enfants attendent exactement d'eux. Bien évidemment, ils ressentent le besoin d'être entourés d'affection. Il leur faut aussi un environnement heureux qui favorisera leur bon développement. Pour éviter de prendre les mauvaises décisions, les co parent peuvent faire appel à des spécialistes qui connaissent très bien ce genre de situation. Il va aussi indiquer aux parents les limites de l'enfant par rapport à la situation qu'il vit, notamment s'il est déjà en âge de comprendre. Il y a beaucoup de choses qu'il ne saisit pas et quand il pose des questions, il est très important de lui fournir des réponses claires et précises. Cela ne sert à rien d'adopter la politique de l'autruche ni d'ignorer ses préoccupations. S'il ressent le besoin d'exprimer ses craintes ou ses peines, les parents doivent lui tendre une oreille attentive. De cette manière, ils sont en mesure de comprendre ce qu'il ressent vraiment et d'agir en conséquence. L'enfant a aussi besoin de préserver une bonne entente avec lui et de tout faire pour ne pas couper la communication.
La coparentalité, des compromis à chaque étape
La coparentalité tend à préserver le bien-être de l'enfant, dont l'équilibre psychique est en jeu. Elle est un processus permettant aux parents de discuter de l'avenir de leur enfant. Il va sans dire qu'un événement qui se produit au temps présent a toujours des répercussions sur le futur d'un individu. Il est donc très important que chacun fasse des compromis et des concessions quand cela s'avère nécessaire. Le bonheur de l'enfant passe en priorité et toutes les décisions qui le concernent doivent être prises par les deux parents. Cela évite à l'un de se sentir lésé ou d'avoir l'impression que son avis ne compte pas. Pour l'enfant, il est bénéfique pour lui de savoir que ses coparents se préoccupent de lui. Il va se sentir en sécurité et en confiance, ce qui préservera son innocence et favorisera son bon développement.
La coparentalité consentie, le choix des coparents
Il est tout à fait possible de choisir le père ou la mère de ses enfants. C'est un procédé qui peut se faire de différentes manières. Beaucoup de personnes ont les mêmes objectifs et recherchent elles aussi la personne qui corresponde à leurs attentes. Si certains ont recours aux sites de rencontre, d'autres préfèrent en parler à des personnes de leur entourage. Il n'est pas rare de voir que des amis ont des enfants conjointement, alors qu'ils n'ont jamais eu l'intention de sortir ensemble. La coparentalité leur permet d'assumer leur rôle de parent tout en préservant un minimum de liberté. C'est le cas des célibataires endurcis qui ne veulent pas s'engager dans une vie de couple, mais qui souhaitent avoir des enfants. Ils subviennent ainsi à leur besoin et s'assurent qu'ils ne manquent de rien. Outre les biens matériels, ils veillent aussi à passer du temps avec eux et à s'occuper d'eux.